La société a signé deux contrats de service de risque (RSC) avec l’Agence nationale angolaise du pétrole, du gaz et des biocarburants pour les blocs 49 et 50, situés dans les eaux très profondes du bassin inférieur du fleuve Congo en Angola.
Dans un communiqué publié jeudi, le président exécutif de la Chambre africaine de l’énergie (AEC), NJ Ayuk, a salué la signature, déclarant qu’elle consolidait l’héritage de 70 ans de Chevron en Angola tout en soulignant le cadre réglementaire solide du pays qui a permis de telles entreprises.
"La signature récente de deux RSC par Chevron souligne la valeur de la mise en œuvre d’un environnement réglementaire et fiscal solide en Afrique", a indiqué M. Ayuk.
Il a ajouté : "Lorsque les gouvernements ouvrent le marché grâce à des conditions fiscales attrayantes, l’industrie réagit positivement".
Il a appelé les autres pays africains producteurs de pétrole à "en tirer les leçons et à adopter des mesures proactives pour attirer les capitaux étrangers"
Les deux blocs, situés à proximité du prolifique bloc 17, devraient produire des rendements substantiels et contribuer au portefeuille d’actifs en eaux très profondes de l’Angola, qui ne cesse de s’étoffer.
La société détient actuellement une part de marché de 26 % dans le pays, avec des intérêts dans les blocs 0 et 14 – qui produisent en moyenne 70 000 barils de liquides par jour et 259 millions de pieds cubes de gaz naturel par jour.