"Les efforts de certains responsables israéliens, qui ne peuvent tolérer l'expression de la vérité et des faits, pour changer l'ordre du jour, accompagnés de distorsions et de calomnies dans l'espoir de couvrir le massacre brutal ciblant les civils palestiniens à Gaza, ne donneront aucun résultat", a souligné le ministère dans un communiqué.
Le fait que l'ONU, son secrétaire général Antonio Guterres et le président Erdogan soient pris pour cible par ces autorités, “ayant commis un crime contre l'humanité devant le monde entier mais qui ne peuvent même pas tolérer la critique et la condamnation, est une indication claire de la faiblesse dans laquelle elles sont tombées", selon la même source.
"Nous renvoyons l'accusation d'antisémitisme, de calomnie et d'insultes [à l'encontre d'Erdogan et de la Turquie elle-même] à nos interlocuteurs de la même manière", a ajouté le communiqué. "Contrairement à de nombreux pays qui soutiennent aujourd'hui inconditionnellement Israël, tout le monde sait que le bilan de la Turquie sur cette question est sans tache et immaculé.
"C'est une vérité que tous les historiens ont révélée : la Turquie a été un havre de paix pour tous ceux qui ont été persécutés au cours de l'histoire, y compris les juifs", a indiqué le ministère.
Le ministère a demandé aux autorités israéliennes "d'entendre d'urgence les appels au cessez-le-feu et à la paix qui leur ont été lancés pour mettre fin à cette barbarie visant à la destruction totale des habitants de Gaza".